Les Pierres de Crysède

- Haha... *huff* ca a marché!

Amendel était la, fier de son coup, sa posture recourbée n'exprimant malheureusement pas la même fierté - la concentration trop intense lui avait échauffé les muscles a un stade ou il pouvait sentir de la douleur. Il continua avec un sourire.

- Je suis étonné d'avoir pu me rappeler parfaitement de ces paroles, même parler l'elfique me fourche la langue...

Il se redressa enfin, et observa l'endroit ou avait eu lieu le combat. Dans un moment bref de paix intérieure, il réfléchit, puis leva les yeux au ciel, et chuchotta aux nuages. "Mère...", dit-il en silence.

Son regard fut détourné lorsqu'il s'apercu que dame Gayel était étendue par terre dans un état de comatose. Puis, sans comprendre ce qui se passait, un étrange rayon lumineux venant du ciel frappa la blessée. Amendel recula d'un pas, étonné de ce spectacle, puis en voyant le paladin en train de prier, cru bon de croire qu'il était causé par lui.

Mais ce qu'il vit alors l'impressionna. Andell disparu rapidement devant ses yeux! Mais qui était-il donc, un illusionniste? Il avait de la misère a croire qu'une personne pouvait vraiment avoir des pouvoirs si impressionnant...

Il oublia ce qui était arrivé et fini par rejoindre les gens autour de dame Gayel.

- Allez-vous bien? Comment vous sentez-vous?

Il espérait qu'elle se sente mieux, beaucoup de choses semblait lui être arrivé en si peu de temps...

-LAISSER LA!

Le groupe qui était au tour de Gayel entendir Bahir crier.

-Laissé la ce remettre!Vous n'avez jamais perdu toute vos energie!C'est juste ca qui c'est passé elle redeviendras parfaitement correct pendant la nuit ou demain matin au plus tard!

Bahir placa ensuite son épée dans sa gance a sa gauche et mît son équipement dans le camp.

-Bon il commence a arrêté de pleuvoir alors nous ferrons un feu et nous dormerons ici.

Bahir arriva près des morceaux de bois qu'il avait mît en pyramide et lanca une petite boule qui était dans son sac.Une petite explosion se fît et un feu commenca alors.

-Réchauffez vous et essayer de gardé Gayel loin des flames.Ma mère ma parlé de ce pouvoir.Après utulisation si on est trop près du chaud ou du froid on peux se transformé en l'élément et is resté pour toujour.Comme Andell et c'est pouvoir sur le vent.Je reviens dans pas longtemps je vais prendre a manger.

Bahir prit alors son épée et alla vers la fôret il revenu 5 minute après avec un gibier sur le dos.

-Et bien il était tous la...Je crois que nous avons beaucoup de chance ou bien seulement qu'il on recentit de la chaleur alors il son venu je ne c'est pas je ne suis pas druide...

Bahir enleva alors son haut de plate et changa son chandail et ensuite remît sa plate.

-Je conseille a tout le monde de dormir car demain au levé du soleil nous partons!

Bahir prit alors 2 baton qu'il avait trouvé dans la fôret et les mits droit et prit un autre baton qu'il mit au dessus et commenca a faire tourné le gibier.

Gayel ne répliqua pas à ce que venait de dire Bahir. Elle n'ent avait pas envie et qu'aurait-elle pue dire? Qu'elle allait bien..ce n'était pas le cas.
Il avait raison de dire qu'elle n'avait plus d'énergie, elle n'aurait guère pu se lever et sa tête la fesait toujours souffrir. Mais ce qui inquiétait le plus l'elfe était ses mains. Elle ressentait des élancements intenses et l'impression que le feu couvrait encore sous la peau. Mais portant, elle était glacé et frissonnait de toute part.
Elle regretta le feu qui brulait un peu plus loin.

Andell, le livre rouge...Il était tombé entre les deux demoiselle lorsqu'Andell avait disparut et elle avait laissé à Endy le soin de le garder et de le cacher en attendant. Elle n'aurait pas été très efficase comme gardienne en se moment.
Deux heures avait-il dit. Elle regrettait qu'il soit parti par sa faute. Il n'aurait pas eu à s'excuser, l'elfe de la lune avait eu sa popre mission à accomplir et il n'avait pas à la protéger contre elle même...
Gayel ne l'aurait pas avouée mais elle avait bien hâte qu'il revienne. Sentir sa présence à ses côtés, son calme rassurant.

Elle voulait l'attendre mais ses yeux se fermaient.
''Est ce que l'un d'entre vous aurait des bandes de tissus ou autre bandage pour que j'essaie de recouvrir mes mains.'' Mais elle ne fit que le penser sans le demander et elle sombra dans le sommeil.

(Whoa... j'ai écrit ca tellement vite que je ne croyait pas qu'il serait aussi long O_O mais bon. J'me calmerai la prochaine fois )

Après avoir emporté du bois pour alimenter le feu, Amendel et les autres s'assierent tous autour. Gayel, épuisée, vint a s'endormir rapidement sans prévenir. Amendel détacha sa cape, la roula et la placa sous la tête de la dame. Il prit place devant le feu dansant et ne parla plus a partir de cet instant. Perdu dans ses pensées, il observait aveuglement les courbes que les flammes créaient, les braises qui s'envolaient avec la brise nocturne, et réfléchissait. Évidemment, il n'avait aucun moyen de comprendre pourquoi ces brigands l'avait attaqué, mais il y songeait tout de même. Il pensait au livre. Il pensait aux pouvoirs étranges de Andell. Il se questionnait sur ses compagnons de voyage, sur leur personnalité. Puis, toujours en silence, il se leva, laissa son sac derrière a quiconque voudrait s'en servir comme oreiller, puis s'éloigna un peu avec son arc, pour aller s'affaisser sur le tronc d'un arbre. Il dévisagea la lune, observant sa lueur, sa rondeur. Puis, sans s'en rendre compte, il s'endormit.

Amendel fit encore le même rêve qu'il avait fait si souvent. Il était la, debout, dénudé, au beau milieu d'une plaine anciennement verdoillante mais maintenant désechée et déserte, qui semblait s'étendre a l'infini. Le vent poussiéreux lui fouettait le visage, la froideur lui offrant une déplaisante sensation. Il avait beau ouvrir les yeux, mais il ne voyait rien. Puis, soudainement, une silhouette floue transpercait la tempête, et s'approchait d'Amendel, de plus en plus, jusqu'a être la, devant lui. Les rafalles de vent cessèrent, et il n'eut pas de misère a reconnaitre la personne qui était devant lui. Il l'avait déja vu auparavant, mais jamais de ses propres yeux. Pourtant, il était sur qu'il ne se trompait pas.

- Comment se fait-il que je ne puisse vous voir qu'en cet endroit lugubre, mère?

Elle souria. Coifée d'une chevelure longue rougeatre, vêtue d'une toge blanche et de perles sur ses oreilles pointues, elle s'approcha d'Amendel et malgré la fluidité de ses traits de visage, il pouvait quand même la reconnaitre.

- Pour me voir, il faudrait surmonter beaucoup plus qu'une simple montagne, mon fils. Ce n'est pas le chemin qui serait pénible a marcher, ni la distance nous séparant qui est trop grande...

Elle soupira, puis continua.

- Je sais que tu me verras un jour, car je sais que tu es capable d'atteindre tout ce que tu désires... mais je ne peux m'empêcher d'être triste, car une barrière invisible, mais mortelle, nous sépare, et nous séparera toujours, jusqu'a la fin des temps. Tu n'y échapperais pas si tu venais a me rencontrer...

Amendel fut désolé de voir qu'elle sentait de la tristesse. Et a cet instant, dans faire un bruit, des ombres noires a l'apparence humaine apparurent derrière la personne qu'il reconnaissait comme sa mère, et une d'elle l'attrapa a l'épaule, et commencait a l'éloigner de son fils. Tant de fois son rêve avait-il terminé de la sorte. Mais pas pour cette fois, se dit-il.

Amendel souria, puis se mit a répéter les phrases en elfique ancien qu'elle lui avait répété auparavant dans ses rêves. La même qu'il avait répété ce jour-ci. Alors qu'elle allait disparaitre, des centaines, des milliers de plantes sortèrent de la terre, partout dans la plaine désechée. Rapidement, tous le terrain devint verdoyant de vie. Les lianes attrapèrent et firent disparaitre les ombres, et en un bref instant, la plaine entière fut remplie de fleurs colorées alors que les plantes continuaient de s'étendre par elles-même jusqu'a l'horizon. Il la regarda dans les yeux en disant:

- Je sais qui je suis, mère. S'il le faut, je deviendrai plus fort pour vous rejoindre un jour, vous. Et je retrouverai mon père, car je sais qu'il est vivant.

Un sourire discret se dessina sur le visage de la dame. Elle termina, avant de disparaitre:

- La force n'a rien a voir au problème, fils... Mais je suis fière de toi.

Amendel tendit la main, essayant de la rattraper. Mais rapidement, il se rendit compte qu'il était près du camp, et que ce n'était qu'un rêve... Si seulement il pouvait être sur que ses rêves contenaient au moins un brin de vérité...

Une heure, deux heures...

Andell était visiblement en retard. Le feu vascillait irrégulièrement, ses longues langues léchant sans fatigue l'air de la nuit. Un vent s'était levé, et l'air froid suffisait à faire frissonner doucement les gens rassemblés soit autour du feu, soit près de Gayel, pour sa sécurité.

Les regards ne manquaient pas d'illustrer une certaine incertitude et une touche d'inquiétude. Les bruits naturels dans une pareille nuit résonnaient, sans pour autant les réconforter.

La troisième heure passa... Une nouvelle buche dans le feu. Deux heures... Andell avait demandé deux heures. Que faisait-il ? L'inquiétude régnait lorsqu'on vit un tête surgir à quelques mètres du feu, rapidement suivi du corps des jambes et d'un bras.

Andell était de retour, et fixait son bras invisible, un air d'effort inexorable au visage. Le retour à une forme charnelle lui semblait avoir été plus difficile que jamais, sinon lorsqu'il avait failli y rester à jamais. Son bras réapparaissait cependant lentement, centimètre par centimètre. Au bout de près d'une minute, sa main seule lui résistait toujours. En fait, L'elfe semblait tout à fait incapable de lui redonner une forme.

Andell se rapprocha cependant de Gayel. De la sueur perlait sur son visage, ou était-ce de l'eau ? Il tremblait de tout son corps et une fine aura bleue l'entourait. Sa figure crispée par la concentration, il déposa la "main" sur la blessée. L'aura disparut autour de lui, sa main reprit forme et lorsqu'il la retira, on voyait qu'il tenait un bout de tissu dans sa main.

*Voilà, Gayel, remet-toi vite ! Ton corps se regénérera seul, à présent...*

Il s'écoula au sol, sa conscience se perdant dans les brumes de la nuit, sous la froideur de l'eau qui recouvrait son corps (effet imprévu de la pierre magique, disparue lors du tranfert d'énergie dans Gayel... petite précision au cas où).

La chaleur intense du feu pourchassait les ombres sur le visage doux de la jeune fille. Un vent froid mais rassurent parcourait les lieux, laissant les cheveux de Felicia flotter avec. Coucher sur une roche, inconciente, elle ne bouchait point, et respirait tres lentement, de fois de petit grondement sortait de sa bouche. Mais aucun malaise ne pouvait se voir, meme si il y en avait un...

Elle etait la, il y a des annee de cela, devant des gigantesque ruins. Elle marchait tranquillement, laissant tous ses problemes de coter. Elle regardait la structure des batissent, cela etait sa citer. Elle avait eter attaquer, par un etre, quelle ne connaissait point encore.

Elle arriva devant un temple, en decombre. Un etre y ressorti, elle le connaissait, il etait dans sa guilde, les voleurs des temps. Elle se rapprocha de lui, l'homme lui parla de homme, un homme dragon. Cette homme-dragon connaissait tres bien...la sour a Felicia...

Une lumiere eclaira son visage rayonnant, elle ouvri les yeux pour regarder, et apercu les lunes la regarder. Elle se tourna le visage, pour se rappeler se qui venait de se passer. Un feu brulait devant elle, et Sephiroth etait a ses coter, qui etait cette homme, il l'avait proteger dans le combat, etait ce pour une raison?

Elle commencer a penser, se coucher la tete sur la roche et s'endormit. Elle etait la seule a dormir, apart pour Gayel, mais cela ne lui derangait guere. Le monde n'avait pas l'aire de s'occuper d'elle...

Un rêve...son sommeil était extrèmement profond et elle croyait rêver. La douleur qui ne l'avait pas quitter, le froid et le chaud livrant une bataille impossible à l'intérieur d'elle.

Elle sentie une main, une énergie nouvelle bien qu'inconnue la parcourir et l'apaisser. Son sommeil se fit mouins profond, son corps plus léger et elle ouvrit les yeux. Elle frissona mais su que sa fiève n'était plus, sa tête en paix. Seul ses mains maintenant très pâles, gardaient de fines lignes blanches. Elle réalisa qu'elle n'avait pas rêver la présence d'Andell et qu'elle lui devait cette douche situation.

Personne n'avait parler...Gayel comprit alors ce qui se passait et de terrible remors l'envahirent, elle était la cause de son état. C'était maintenant à son tour de l'aider, la jeune l'elfe lui devait d'ailleur beaucoup plus que cela.

-Je vous remercie tous de ce que vous avez fait pour moi et je jure de rembourser ma dette envers vous tous. Mais en se moment il y a plus important.

Elle posa sa main sur la joue d'Andell et la laisser glisser le long de son cou. Fait étrange, elle ne sentait pas le froid de l'eau contre sa peau. Mais elle retira sa main, se disant qu'avec toute ses minses cicatrices elle ne devait gère être agréable au touché et sachant que leurs compagnons la regardait.

-Mais d'où vient cette eau* Ses yeux se remplirent de larmes* Je suis la cause de tout ses problèmes, à moi de trouver une solution pour l'aider.

Ses paroles ne consernaient personne, elle ne fesait que murmurer pour elle même.
Gayel repossa ses mains sur Andell et sans qu'elle ai à faire quoi que se soit l'eau froide s'évapora et laissa l'elfe de la lune frissonant et toujours inconscient. Elle dit cependant d'une voix incertaine'' je crois que ca va aller...''

La dame le déplaça doucement près du feu et le recouvrit chaudement.

-Vous pouvez dormir, je n'ai aucunement besoin de sommeil(et c'était la stricte vériter, une énergie qui semblait désormais inépuissable coulait en elle) je suiveillerai les alentours et à la moindre alerte je vous éveillerai.
Et si cela ne vous gêne pas, j'aimerais veiller sur Andell...

Elle avait dit cela avec une pointe de timidité dans la voix mais on sentait qu'elle ne changerait pas d'idée.

Elle s'assit près d'Andell, une main éfleurant son front, écoutant sa respiration.

Un froid, un froid profond... Des battements de coeur, faible mais constant. Était-ce la mort ? Déjà, Andell reprenait ses sens...

Où était-il ? Des bruits résonnaient autour de lui: des bruits de pas et des mots elfiques, accompagnés pas un doux chant printannier d'oiseaux. Il voyait vaguement de la lumière, diffuse, illuminer son visage, trop douce pour être le soleil, trop claire pour être naturel...

Étrangement, l'elfe de la lune ne sentait ni douleur, ni chaleur (ou froid), ni faim ou soif. C'était comme s'il n'était pas là ou il devait être... Sa vue s'éclaircit: il était à l'abri d'une forêt magnifique, et multiple grandes sphères brillantes éclairaient des sentiers qui traversaient les bois. Maints souvenirs s'éveillèrent en lui, alors qu'il levait le regard et le posait tour à tour sur les habitations un peu plus loin...

Sa forêt natale... Comment... ? Elle avait été détruite, il l'avait vue... Et pourtant, ce qu'il voyait ne semblait en rien à un mirage. Un jeune elfe s'approchait en courant... La peau grisâtre, les cheveux argentés, des yeux où s'entremêlaient l'or et le vert: un elfe de la lune...

Andell eut involontairement un mouvement de recul. Il n'y avait aucun doute sur le lieu, c'était... chez lui...

- Monsieur, ça va ?

Le jeune garçon était arrivéà sa hauteur. Lui aussi lui semblait étrangement familier. Était-ce un rêve, des souvenirs qu'il avait oublié et qui lui revenaient ?

- Je...

- Vous allez l'air d'aller bien. Pourquoi donc vous laissiez-vous ainsi choir sur le sol ?

- ...

- Enfin, j'en oublie mes manières, m'sieur. Je me nomme Andell, Andell Ionnodel.

Avait-il bien entendu ? Le jeune homme s'était vraiment dit se nommer Andell ? Alors peu d'explications étaient plausibles...

- ... enchanté, jeune Andell.

Que voulait-il dire d'autre ? L'enfant s'était assis à côté de lui l'étudiait de l'oeil, sans cacher son intérêt pour les vêtements et l'équipement du nouvel arrivant. Situation embarrassante... Si c'était vraiment ce qu'il croyait, alors ce serait très risqué d'en faire bien plus. Et pourtant, tant de choses retrouvaient leur sens de ces événements...

Les deux Andell passèrent quelques heures tardives ensemble. Il semblait au plus vieux des deux que, quoi qu'il dise, c'était déjà inscrit dans le cours du temps. Pourquoi ? Car il avait une vague impression de déjà-vu, remontant à sa propre enfance. Et bien, voilà certes une occasion unique...

Il attira un peu plus l'attention de l'enfant sur lui en lui montrant sa rapière. Après une courte hésitation, il rajouta que l'enfant ferait mieux de beaucoup se pratiquer au maniement de cette arme, qui lui serait très utile... Il profita aussi de ce temps, après mûre réflexion, pour faire répéter une phrase à son passé, en une forme d'elfique qu'il comprenait déjà alors:

*... et les plantes, racines de ce monde, exprimeront leur colère a cet instant, car la balance naturelle est honteusement déséquilibré par l'homme égoiste. Vous avez aider le monde a fleurir, je vous sommes d'empècher ceux qui tentes de déssécrer de leurs doigts métaliques glacés vos progénitures!*

Andell (senior) sourit. À croire qu'il revoyait ici ce qui l'avait mené à être ce qu'il est... Et pourtant, si près des siens, il savait que ce n'était plus sa place... À la fin de la nuit, après une longue série de conseils, d'échanges et de rire, Andell songea à partir. Mais cette soirée n'était pas restée si claire dans son propre esprit, aussi devait-il encore faire quelque chose pour que son passé n'en garde aucun réel souvenir.

Il s'en occupa rapidement, utilisant une combinaison de plantes (trouvé dans un livre de la bibliothèque de la forêt) pour lui faire prendre la dernière journée pour un rêve.

Comment revenir à présent, par contre ? Comment était-il arrivé ici au départ ? Son corps... Il était à nouveau tombé inconscient... La dernière fois, il avait eu des visions du passé et cette fois, il l'avait influencé. Mauvais présage, ce développement soudain: il devrait se surveiller encore plus. Il vida son esprit, se concentra pour revenir dans son temps. Mais son corps n'était pas encore en état, et rien n'y fit. Il attendrait jusqu'au matin avant de réessayer: sa moitié de la pierre élémentale de l'eau aurait le temps de regénérer son enveloppe charnelle.

Le matin se levait enfin. La nuit avait été tendue pour plusieurs personnes. Mais le soleil ramenait dans les coeurs une touche d'espoir après la dure journée qui s'était terminée pour les aventuriers.

---

Andell n'avait pas médité comme il l'aurait pu en d'autres conditions. Yeux fermés, il réfléchissait, se concentrait. Revenir à son corps la nuit précédente, ç'aurait été comme une âme qui tâchait de récupérer son corps mort... Enfin, les pouvoirs des pierres élémentales affectaient son corps, alors tout devrait bien aller.

Il rouvrit les yeux. Il n'était plus dans la forêt: il était à l'abri d'une maison elfique. Qu'y faisait-il ? L'avait-on amené ici ? Il n'était pas resté pleinement conscient toute la nuit finalement... Les oiseaux chantaient, le soleil n'était pas encore paru, ici. Tant mieux... Il était temps de regagner son corps...

---

Alors que le soleil laissait voir ses premiers rayons au-dessus de l'horizon, la main d'Andell commençait à se crisper, comme sous l'effet d'un effort puissant. Elle se relâchèrent quelques secondes plus tard, et l'elfe ouvrit les yeux. Il était de retour -déjà- mais en mauvaise forme.

Bahir qui n'avait pas réussi a fermer l'oeil de la nuit alors un peu plus loin sur une petite montagne non loin du campement il y passa la majorité du temps. Au levé du soleil Bahir prit sa pipe et regarda le soleil, il prit ensuite son épée et la mît dans la terre il se pencha et dit quelque bénédiction et une petite prière.Il se leva ensuite et regarda la fin du levé de soleil il pensa ensuite a ce qui savait passé hier soir.

-Je crois que j'ai eu tout une chance contre cet ennemi...

Bahir réfléchissait et entendit alors une voix.

-Bravo mon fils...tu est dans la bonne voie...depuis ma mort je te regarde et je t'admire...tu as plus apprit en 5 ans que moi en 100 ans.

Bahir qui entendit cette voix se rendit compte que c'était sa mère alors il ne parla point pour pouvoir réussir a gravé cette voix dans sa mémoire.

-Mère donné moi des conseilles je ne comprend point mon rôle...pourquoi...que doit-je faire...

Bahir baissa ensuite la tête et décendit la montagne et retourna prèt du campement.

Félicia se réveilla, leva tranquillement en position assi. Elle regarda autour et aperçu Sephiroth qui la regardait, étrangement. Elle se leva plus haut et marcha tranquillement ver lui, la main sur sa tête, qui lui fesait encore mal. Elle arriva à ses côté et dit:

-J'ai pas vraiment l'habitude de parler, désolé, mais merci quand même.

Elle ferma les yeux et fit un petit sourire. Elle décida peu après cela de s'assir à ses côté et de l'observer, elle n'avait rien d'autre affaire, en attendant que les autres se décident de partirent.

Soudain, elle eu mal à tête, et repensa à son rêve. Elle décida de pas le dire à personne, de ce rêve, elle était bien solitaire. Faible, mais solitaire...

Gayel avait passé le reste de la nuit éveillée, le regard dans le vague. Quelque fois, ses yeux venaient se posser sur Andell pour constanter qu'il dormait toujours. Au matin tous se réveillèrent, ainsi qu'Andell.
Il n'avait pas l'air en super forme mais c'était déjà un début.

La demoiselle lui laissa le temps de s'éveiller avant de pencher la tête vers lui.

-Bonjour Andell...

Elle avait plus qu'envie de lui adresser mille excuses mais se retint. Elle baissa la voix en reprenant simplement mais sincérement.

-Merci, je vous dois beaucoup. Personne n'a jamais fait pour moi ce que vous avez fait cette nuit. Je...n'ai point eu besoin d'ange gardien puisque vous étiez là.

Elle paraissait un peu embarassée

-Je vous dois cependant des excuses, je vous ai mise dans une situation délicate et je le regrette.

Elle tendit la main dans un geste inconscient vers son visage et possa sa main sur sa joue.

Les yeux d'Andell restait semi-clos. Son visage grisâtre semblait plus pâle qu'à son habitude. Ses muscles tremblaient doucement, et il semblait garder sa tête droite avec difficulté. Néanmoins, à la vue de Gayel, son visage eu un sourire, son front se déplissa un peu et sa tête se laissa aller sur le sol, yeux fermées.

Il ne répondait pas. Quelques secondes s'écoulèrent encore sans autre réaction. Finalement, on l'entendit dire quelques mots.

- Vous allez bien, demoiselle Gayel ? ... Tant mieux."

Sa voix était claire, presque plus pûre que d'habitude. Il bougea lentement son bras, se retournant sur le côté et, d'un geste plus rapide, il se donna un élan rapide pour se relever. Il pris quelques secondes pour s'étirer, sans porter trop attention aux autres, soupira et se retourna vers Gayel.

"Si seulement vous aviez vraiment à vous excuser de quelque chose... Mais j'ai agis de ma propre volonté. Vous n'y êtes pour rien... Au fait, où est passé le livre rouge ?"

Son regard se troubla une fraction de seconde. Il ne le voyait pas. était-ce bon signe ? Avait-il été pris ou encore l'avait-on caché ? Un frisson le traversa, et il réalisa qu'il serrait toujours une pièce de tissu dans la main. Il le regarda une seconde, regarda Gayel, puis plia le linge et le rangea sans trop d'attention.

Après les dernières paroles que Endy prononca elle entendit un petit craquement de bois.Bahir était le créateur de ce bruit.

-Et bien je pense bien que oui...vous devrez être dans nos jambes mais ce n'est pas a moi que sa déplairait.

Bahir s'assit au côté de Endy et regarda le soleil se lever.

-Bon et bien je vous laisse a tous une demi-heure pour vous préparez et nous leverrons campements pour le reste de l'aventure.

Bahir se leva ensuite donna un légé baissé sur la joue de Endy et alla vers Andell.Il se pencha ensuite un peu et s'adressa a Gayel.

-Je crois que vous avez bien récupérer...a vous de vous occuper de lui.

Il se baissa un peu plus proche de Andell et lui adressa quelque mot.

-Ne perdez pas vôtre occassion mon chère.

Il se leva ensuite et s'adressa au groupe.

-Pour ma par je serais en-haut de la montagne...appelez moi quand tout sera près!

Gayel sourit à Bahir mais un détail la tracassait. Elle écouta ce qu'il dit ensuite et elle crut comprendre. Elle se leva d'un bond et le ratrappa avant qu'il ne s'éloingne.

-Bahir attendez. J'ignore comment je le sais puisque j'étais inconsiente mais je le sais. Merci... d'êtes intervenu rapidement lorsque je me suis effondrée.

Elle lui sourit une nouvelle fois avant de le laisser continuer son chemin.
La dame revint vers ses compagnons, pour se campant devant Endy avec une expresssion fausement en colère.

-Endy, pour une dame inutile vous pouvez dire que vous l'êtes. Vous avez assurés mes arrières lorsque je tentais quelque chose de stupide et avez empêchée de me faire découper je ne sais le nombre de fois. Et tout ce que vous avez fait lorsque je suis tombée. Lorsque vous serez utile vous ferez quoi? Tous nous sauver?

On sentait que Gayel essayait de ne pas sourire et surtout de ne pas rire.
Elle espéra que Endy avait saisit ce qu'elle essayait de lui dire.

-Vous faites partie intégrante de cette troupe et chaque personne y a sa place et la votre n'est pas à négliger. On a toujours besoin d'un puissant allier, une dans ce cas, sur qui l'on sais qu'on peut compter et qui est plus droit et loyal que la lame d'une épée.

Elle soutint son regard, lui sourie franchement et la salua d'un mouvement de tête avant qu'elle est pu dire quelque chose. Elle remarqua le livre et le ramassa pour le rendre à Andell.

-Tenez, Endy l'avait mis en sécurité. Elle a raison, nous devrions repartir. Je crois que vous aller beaucoup mieux mais s'il y a quoi que se soit et bien faites moi signe, je viendrai avec plaisir.

Mais...nous n'avons plus de cheveaux. Ils se sont tous enfuis hier soir lorsqu'ils ont attaqués. Qui voudrait bien les appellés...